Si le message ci-dessous ne s’affiche pas correctement, http://www.avenir-dialogue-democratie.fr/la-lettre-dadd-juin-2021

ADD – Avenir Dialogue et Démocratie est une association qui a pour objet de réunir celles et ceux qui par leur réflexion et leur action sont résolues à s’engager pour un idéal républicain de liberté, de responsabilité, de solidarité et de progrès fondés sur les « valeurs du gaullisme »et sur les principes d’une démocratie de proximité et de partage. Objectif d’ADD – Avenir Dialogue et Démocratie est de promouvoir l’engagement des citoyens sur les sujets de société et de renforcer le lien avec les élus.

L’INFORMATION AU PLUS PRÈS DES ADHÉRENTS

Les mystères de l’informatique nous firent découvrir que les liens prévus entre notre “Lettre d’ADD N°1” et le site étaient inopérants lors de notre premier envoi, aussi, nous vous l’adresserons un nouvel envoi, en vous remerciant de vouloir bien “cliquer” pour nous livrer vos réactions.

  L’ÉDITO…

Notre Vision politique

Une Lettre ADD?  Pourquoi?

Vers qui?  Quand?  Comment ?

Pourquoi  !?  Pour informer, et, plus encore, nous faire comprendre, entendre, témoigner, alerter, écouter…

À qui? La priorité est donnée aux députés, mais aussi à tous les citoyens, élus ou non, qui souhaitent contribuer à leur volonté, en cessant de subir, sans réagir, les écrits et déclarations des « autres »…

Quand ? Tous les deux mois, et plus souvent si vous nous rejoignez nombreux.

Comment ? Avec vous, grâce à vous, par tous supports possibles.

Cessez de vous taire… Osez écrire ce que vous pensez sans craindre le regard des autres… Vous verrez que nous sommes nombreux à penser la même chose.

Une majorité silencieuse fait le lit des minorités agissantes.

Nos politiques sont à la dérive, LA FRANCE déliquescente est au bord de l’explosion…

Dans l’ordre et l’effort restituons le crédit des premiers pour sauver la seconde.

Puissions nous nous comprendre, pour construire ensemble, et non ne pas nous écouter, pour nous opposer !

  Hervé LE GALL

  Président d’ADD

Qui sommes-nous ?

Nous sommes un groupe de citoyens nous revendiquant des valeurs du gaullisme, de formations, d’origines et de parcours différents, libres dans nos points de vue et très attachés à la chose publique, c’est-à-dire au bien collectif qui devrait forger l’organisation de la Société.

Que voulons-nous collectivement au sein d’ ADD ?

Être acteurs de notre époque, capables d’exprimer des points de vue réfléchis de français ordinaires (et), intégrés dans une majorité silencieuse que des minorités agissantes, groupes de pression, « influenceurs» médiatiques, s’approprient abusivement pour expliquer ce que nous pensons, nous qui jusqu’alors, ne disions rien…

Vous pourrez retrouver dans notre site notre vision politique autour de points forts que sont ; un état fort, une économie ouverte, la réhabilitation du travail et du mérite, la décentralisation administrative, la souveraineté nationale et l’Union européenne, la place de la religion dans la société, et l’immigration.

Notre vision du Gaullisme repose sur l’amour du pays, de sa culture, de son histoire en vue de redonner à la France une place de choix dans le concert des nations.« Lire la suite  http… »

VOUS AVEZ LA PAROLE

Prenons (brièvement) la parole… Avant de vous la donner
(plus longuement)…

Comme vous le savez, Avenir Dialogue et Démocratie (ADD) est une association qui a “pour objet de contribuer et de participer au développement du débat public citoyen autour de ces valeurs (du Gaullisme), que chaque membre, par son adhésion, s‘engage à faire siennes et contribuer à les développer”.

Une de nos activités consiste à réunir des membres de sensibilités diverses pour travailler sur des sujets d’actualité et de préconiser des recommandations d’une part à formuler à nos autorités politiques  et d’autre part, à faire appliquer sur le terrain via des relais divers.

Cette parole ouverte et libre s’exprimant dans le cadre de la vision politique dont les grandes lignes ont été rappelées dans la présente lettre est un trésor nous permettant de nous exprimer et d’apporter des nuances partagées sur des sujets qui souvent font l’objet de “postures politiciennes”.

A partir de la prochaine lettre, cette rubrique, vous permettra de pouvoir vous exprimer sur un sujet d’actualité de votre choix ou un sujet de fond qui pourra être développé sous forme de dossier plus fouillé, s’il trouve un écho favorable au sein de nos adhérents.

N’hésitez pas à saisir cette occasion pour prendre la parole et afficher vos ambitions… ADD pourra se faire l’écho de votre point de vue et même constituer une “caisse de résonance” pour des sujets à portée nationale..

A vos stylos et/ou vos claviers donc et à très bientôt.

charte de rédaction

1 – L’écrit ne devra en aucun cas déroger aux obligations légales qui encadrent la liberté d’expression. A ce titre,
est exclu tout texte appelant à la haine, à la violence, aux discriminations de toutes sortes etc.

2 – Chaque article est signé par son auteur qui assume pleinement la responsabilité de l’opinion qu’il émet. En
particulier, dans le cas d’un plagiat, l’auteur assume seul les éventuelles suites qui pourraient résulter d’une plainte.

3 – L’écriture respecte les règles de l’orthographe et de la grammaire classiques françaises à l’exclusion de toute
déformation de type langue inclusive.

4 – Le contenu ne devra pas excéder 1 000 mots, toutefois, en fonction des rubriques et de leur taille relative dans la
newsletter, des restrictions plus importantes s’appliquent.

5 – Le texte sera adressé au Comité de Rédaction trois semaines avant la date de parution de la newsletter.

6 – Le Comité de Rédaction répond à tout envoi de texte quelle que soit la décision prise (publication, refus, différé, etc.).

Attentat de Rambouillet :
Emotion, respect et
soutien

Assemblée Générale
d’ADD 2021

Le 25 avril dernier, la France, et plus particulièrement Rambouillet , était de nouveau touché par un attentat islamiste.

Stéphanie MONTFERMÉ, fonctionnaire de police, était lâchement assassinée dans les locaux du commissariat.

Une nouvelle fois, ce sont nos forces de l’ordre et, à travers elles, la Nation, qui étaient visées et payaient un lourd tribut.

Nos pensées respectueuses ont naturellement été vers elle, sa famille et ses collègues.

La cagnotte mise en place, et nous remercions très sincèrement l’ensemble des participants, a permis d’adresser un chèque de 800 euros à la famille de Stéphanie MONTFERMÉ.

Ce soutien modeste ne pourra pas apaiser la douleur de cette famille, mais a contribué, nous l’espérons, à exprimer notre solidarité dans ce moment qui nous a tous profondément meurtris.

Avenir Dialogue et Démocratie renouvelle son soutien sans faille à l’ensemble des forces de l’ordre.

Nous avons également une pensée pour Justin ALMEIDA, jeune Sapeur-Pompier de Rambouillet qui, le vendredi 30 avril dernier, décédait d’un accident de la route alors qu’il se rendait à sa caserne pour ensuite participer au dispositif de sécurité de  l’hommage national rendu à Stéphanie MONTFERMÉ.

Nous présentons à sa famille et à ses collègues nos sincères et émues condoléances.

Notre assemblée générale 2021 se tiendra le lundi 28 juin à 19h salle Antoinette Vernes à Rambouillet.

Ce sera pour nous l’occasion de nous retrouver après ces longs mois d’isolement, qui ne nous ont pas permis de nous rassembler.

Cette assemblée générale sera aussi l’occasion d’élire notre nouveau conseil d’administration qui œuvrera pour les trois prochaines années.

Envie de vous engager, de nous rejoindre? Faites nous parvenir votre candidature* par mail à avenir.dialogue.democratie@gmail.com avant le 14 juin.

Nous vous attendons nombreux  pour continuer à tracer l’avenir d’ADD avec transparence, unité et cohérence.

*Seuls les membres à jour de cotisation 2020 peuvent être candidats.

L’Autorité en France

Autorité, un vieux souvenir ?

Les récentes lettres ouvertes rédigées par les militaires rencontrent une attente exprimée depuis longtemps par une majorité de Français : le retour de l’ordre dans le pays.
Qui dit ordre dit autorité et, au premier rang, l’autorité de l’Etat garant de la sécurité publique.
Pourtant, les Gaulois réfractaires, sont d’ordinaires assez peu portés à la discipline.

Comment comprendre cette apparente contradiction ?

Sans doute par l’impression, vécue ou perçue comme telle par la population, d’un délitement général de l’autorité qui n’arrive plus à endiguer les incivilités du quotidien, les actes d’hostilité, voire les ’agressions délibérées envers les représentants de l’autorité. Même Rambouillet, ville calme, a été endeuillée récemment par l’assassinat d’une policière.
Cette incapacité à faire respecter la loi dans la population a créé un sentiment d’ injustice et de deux poids deux mesures. Alors que le particulier et l’entrepreneur se débattent dans un écheveau d’obligations et d’interdits agrémenté de son cortège d’amendes, les médias témoignent, eux, chaque jour lot d’incivilités, d’agressions, de vols, de zones de non droit.  
S’ajoute à cela, le constat d’une justice dont la préoccupation ne semble plus être d’agir pour défendre les victimes, dont le fonctionnement et la lenteur sont décalés par rapport aux attentes de rapidité et d’exemplarité des Français et qui rend chaque jour des décisions éloignées de l’intérêt général. A cet égard, il est permis de se demander si la décision d’absoudre l’assassin de Madame Halimi est juste et, par extension, si le policier qui surveille le coin de la rue est légitime.
Devant ces incohérences de moins en moins acceptés par une part croissante de la population, une colère sourde et froide monte parmi les citoyens.
Nos gouvernants, eux, mettent en avant la complexité de leur quotidien : l’usure des équipes de terrain, l’indépendance de la justice, la nécessité de ne pas stigmatiser des fractions de la population, la versatilité des opinions dénonçant tout à la fois, l’affaissement de l’autorité et le caractère liberticide des contraintes, ou bien l’usage de la force comme une violence policière.
Cet écart entre le renforcement de l’autorité souhaité par une part croissante de la population, et le renoncement du pouvoir à l’exercer, créé un sentiment d’affaiblissement collectif, d’un relativisme rampant ou tout s’explique et tout s’excuse qui se traduit, au bout du compte, par une forme d’impuissance.
Bien sûr la restauration de l’autorité est une affaire de long terme qui englobe à la fois l’éducation, l’autorité parentale, le système judiciaire, le fonctionnement de la police. Mais c’est d’abord une question de volonté politique et de courage pour faire barrage au désordre avec une claire conscience des enjeux.
L’enjeu majeur, c’est considérer que l’affaissement de l’autorité entame la cohésion de notre société qui ne peut pas accepter l’existence, ici ou là, de zones de non droit abandonnées à la loi du plus fort. En acceptant cela c’est le principe d’équité et d’’égalité entre les citoyens qui est mis en cause Si l’autorité n’est pas un objectif en soit, elle reste un moyen nécessaire car n’y a pas de liberté réelle sans ordre, l’insécurité affectant d’abord les gens les plus vulnérables.
D’autres pays connaissent une démocratie encadrée voire même inexistante ou une minorité impose à la majorité ses choix ou ses intérêts personnels. Mais quand une majorité peine à imposer ses règles à une petite minorité, n’est-il pas permis de s’interroger sur notre démocratie ?

Que se passe-t-il aujourd’hui en France ?

L’analyse mérite d’être effectuée sans concession pour comprendre le profond malaise des Français et ses manifestations fréquentes qui devraient très fortement alerter nos dirigeants.    …/…

(suite de l’article)
L’attrition de longue date du maintien de l’ordre dans des territoires abandonnés aux bandes organisées a multiplié les renoncements pour une paix provisoire et d’apparence.
Et puis, en multipliant les outils de rigueur destinés à garantir le respect d’un certain nombre de règles du vivre ensemble, le pouvoir a montré des signes de grande sévérité vis-à-vis de transgressions qu’il ne faut pas négliger, mais qui ne représentent pas le même enjeu de sécurité publique que les banlieues abandonnées.
Certes l’autorité doit utiliser avec mesure la force en l’adaptant aux nécessités ; une violence disproportionnée est rapidement sanctionnée par l’opinion. En revanche, les agressions délibérées, organisées et ciblées contre les forces de l’ordre, appellent une réponse à la hauteur du symbole attaqué en acceptant, par avance, les dégâts collatéraux et les réactions en chaine possibles.
Reste à souhaiter que dans ces circonstances, l’opinion publique fasse preuve de constance en maintenant son soutien aux forces de l’ordre dans leur lutte contre l’insécurité menée au nom du peuple français.
Pour cela, le citoyen devra reconnaitre dans l’agent de la force publique, l’acteur d’une justice globale à l’ensemble des citoyens et non l’exécutant docile d’une politique injuste et partiale. La légitimité de nos forces de police et l’appareil judiciaire ne peuvent s’abstraire de la justice globale dans le cadre de laquelle elles agissent. Opposer police et justice est porteur de grands risques et revient à ce que chacune affaiblisse l’autre.
A la lumière de cette explication très fragmentaire, il est facile de tirer une conclusion simple : les Français attendent une expression de l’autorité qui ne soit pas inversement proportionnelle à la gravité de la transgression.
Ils accepteront ainsi les radars au bord des routes ou les 135 euros pour non-port du masque quand les dealers qui gangrènent les banlieues seront derrière les barreaux.
En d’autres termes, toute autorité exercée sur les citoyens qui n’entre pas dans une logique proportionnée ne peut pas être acceptée.
D’où cette impression poisseuse ressentie par un nombre croissant de citoyens de notre pays de ne plus vivre en démocratie.
Quand ils voient qu’en banlieue on agresse les représentants de l’ordre qui ont interdiction de riposter, il est permis de se demander si cette impression poisseuse est infondée.
Si le gouvernement actuel hérite d’une longue suite d’abandons ou d’incuries de la part des responsables politiques précédents qui ont trop souvent sous-estimé l’appel de la population à plus de justice civique, il ne semble pas, à ce jour, avoir pris la mesure de l’urgence.
La question de l’autorité et de sa restauration se résume simplement : ne serait-il pas temps de revenir en démocratie ?
L’histoire nous enseigne que les périodes d’insécurité et de désordres profitent toujours aux extrêmes qui trouvent dans ces moments de doutes collectifs un terrain favorable aux mesures radicales.
La perspective annoncée pour la prochaine élection présidentielle, une confrontation entre l’extrême droite et le pouvoir en place fragilise le vainqueur et n’offre pour beaucoup d’électeurs qu’un choix par défaut, un vote blanc ou une abstention. La situation ne peut qu’entraîner un affaissement de la démocratie . Il porte en soi le risque de voir surgir une vague non maitrisable, quand les Français excédés décideront, en dehors de tout cadre, de restaurer une autorité qui leur manque. Le remède risque d’être alors encore pire que le mal. Il ouvrirait des jours bien sombres pour notre pays.

“Droit de réponse”
Si ce texte ne vous convient pas REAGISSEZ…
S’il vous convient… AUSSI !

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Cette lettre d’information est une publication de l’association Avenir Dialogue et Démocratie

Directeur de la Publication : Hervé LE GALL
Conception ADD

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